Ponéroser, v. du grec poneros, mauvais : oser le mauvais-goût, faire du rejet de toute norme sociale en matière esthétique ou morale un devoir sacré, les considérant comme des constructions patriarco-militaro-cléricales, quitte à tomber dans l’exhibonderie et la coprolâtrie.
- On sait ce que je puis, on verra ce que je ponérose. Voltaire.
- Sartre est d’autant plus indigne d’estime qu’il a ponérosé tout ce qu’il a pu, et non tout ce qu’il aurait voulu ponéroser.
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