Coptoir, v., du grec κόπτω, se frapper la poitrine, pleurer. S’affliger de la médiocrité sociale ambiante alimentée par un perpétuel régrès.
- Les manifestations des étudiants préférant l’égalité dans le chômage au travail sont de nature à faire coptoir tout homme de bien.
- Dès que paraissent les beaux jours, il semble que si les néaniais pouvaient s’ébrouer totalement nus par les rues et les places, ils le feraient. Je coptois certes, mais je profite de ce temps où tout de même, le régrès n’est pas encore arrivé à ce suprême stade de l’exhibonderie. Henri-Jean Bott, choses vues que j’aurais préféré ne point voir.
- « Toi qui entres ici, prépare-toi à coptoir ». Écrite en lettres de feu, cette devise prévient ceux qui pénètrent en Occident des peines et douleurs provoquées par l’égonomie de la Vulguère.