Mendabre, n.m., du latin mendacium, mensonge et du suffixe -brium, qui sert à: tromperie diffusée volontairement par les moyens de communication modernes afin d’enfermer les masses dans une geôle mentale où règne l’illusion de la liberté par l’abondance consumériste et le libertinage effréné.
- Un mendabre bien connu voulut nous faire croire que le 9 novembre, le Mur de Berlin s’était effondré. Après trente ans, nous vîmes qu’en fait, il s’était seulement retourné.
- Mendabre et rhetorrisme sont les deux mamelles de la presse.
- Le mendabre est à l’origine de la novlangue.
- La presse ou l’interéticule aiment à diffuser toutes sortes de mendabres pour justifier les entreprises d’ogranisation.
- La phobophilie est le dernier – et le plus redoutable – mendabre pour clouer au pilori les opposants à l’égonomie. Il dépasse ses devanciers en constituant une véritable police des arrières pensées.
- Les agents du régrès de la vulguère aiment à émettre toutes sortes de mendabres pour disqualifier leurs opposants, profitant de leur hégémonie médiatique.
- Par leurs mendabres, les pouvoirs grégaliens parviennent à appauvrir la langue pour faciliter le contrôle des masses. Les avertissements de Georges Orwell n’auront servi à rien.
Une réflexion au sujet de « Mendabre, n.m. »